cestmarrant a écrit:
Moralité, se mettre à Linux dans la mesure du possible. plus facile à y dire qu'à y faire...

cestmarrant a écrit:
Tu tapes Linux sur Google et tu sauras...

tignothe a écrit:
cestmarrant

Pour Jicebe De Nice,
Linux c'est le truc antithèse de Windows:
Démarrage au quart de tour, extinction en deux temps trois mouvements, pas d'anti-bidule,
anti-cochoncetés, pas de défragmentation, de nettoyage parce qu'y parait que ça s'encrasse ben vite ces p'tits machins là! Installation de logiciels que même Mme MICHU sait faire, une logithèque à faire pâlir le gratilogien (ça s'dit c'mot là!?) le plus endurcit.




Qui est cette mme Michu dont tout les "pros" (ou assimilés) parlent -avec mépris souvent - ?

tignothe a écrit:
Bonjour,

Jicebe De Nice
Qui est cette mme Michu dont tout les "pros" (ou assimilés) parlent -avec mépris souvent - ?

Ya pas à dire, Jicebe c'est l'archétype même de l'Homme de la rue https://www.wikiwand.com/fr/Homme_de_la_rue C'est le gus à qui toute explication est vaine car au final il restera toujours à l'Ouest ( au fait, c'est où l'Ouest?)

« La veuve de Carpentras » : un client représentatif de l'ensemble de la clientèle d'une banque à qui elle vend sans difficulté des produits financiers. (j'aime bien l'image car dans mon activité antérieure j'ai souvent vu ce type de personnage!)
« Duchmol » ou « Monsieur Duchmol » : personne plutôt moins futée ou socialement moins respectable que l'homme de la rue
Joe the Plumber : suite aux élections 2009 aux États-Unis qui mirent lumière sur un certain plombier nommé Joe, Joe the Plumber est un symbole de l'Américain moyen
« Madame Michu » : du sexe opposé à l'homme de la rue, elle se rencontre plutôt au foyer que dans la rue.

À l'origine, Madame Michu est un monsieur. Un paysan fidèle à l'ordre établi découvert dans Une ténébreuse affaire, de Balzac. On a beau l'exécuter à la fin du roman, il renaît chez Zola, puis chez Alphonse Allais ou Aragon. Toujours en habit de cul-terreux, le pauvre Michu. Avec les années (et la misogynie !), sa femme est devenue plus connue que lui. Falote et pleine de bon sens, madame Michu s'est imposée en mètre étalon de la prétendue « lisibilité » dans le journalisme français, au même titre qu'un certain « John Doe » aux Etats-Unis ou que la célèbre « madame Coulibaly » en Afrique. À chaque pays sa (ou son) Michu ! preuve qu'on l'affectionne, l'individu standard jouit même d'une ribambelle d'autres surnoms, ici en France : la « mercière de Saint-Léon » pour messieurs Desgraupes et Lazareff, les célèbres pionniers du petit écran, ou encore le « pharmacien de Carpentras » (variante de la « veuve de Carpentras », qui incarne le client lambda chez les banquiers) pour le fondateur de l'Express, Jean-Jacques Servan-Schreiber. Relevant à l'origine d'une louable intention (les médias voulaient être compris de par tous), ces formules virent parfois au mépris de classe (« ma concierge », « ma boulangère »...) autorisant tous les nivellements. En particulier à la télé, où l'on ne s'interdit pas de penser que « la ménagère de moins de 50 ans » est à peine plus futée que son balai-brosse.


Toujours pour Jicebe De Nice,
c'est marrant, ( ne voyez surtout pas une allusion quelconque au pseudo de la réponse n°3 et 5) je perçois une véritable recherche dans l'élaboration de tes réponses; c'est concis, peu précis, avec une véritable envie d'apprendre..! une prose faite pour susciter le bonheur...